La famille et la fiscalité en "2025"
« Une famille est un groupe de personnes qui sont réunies par des liens de parenté et qui sont dotées d'une personnalité collective avec une obligation de solidarité morale et matérielle destinée à favoriser leur développement social, physique et affectif » selon la définition de Wikipedia .
La famille apparaît d'emblée comme une question relevant de la sphère privée : la constitution d'un couple, la décision d'avoir des enfants sont en effet des choix personnels avec naturellement des impacts financiers et fiscaux. Connaissez vous le mandat de protection future pour votre avenir ou celui de vos enfants ?
Nous allons nous concentrer sur les évènements pouvant intervenir durée la vie familiale :- vivre en concubinage
- se marier
- se marier entre personnes de même sexe
- se pacser
- adopter
- modifier son régime matrimonial
- mettre en place des avantages matrimoniaux
- faire une donation au dernier vivant
- protéger son entourage
- recomposer sa famille
- administrer les biens des enfants
- protéger un enfant handicapé
- divorcer
- faire des donations (parent, grand parent, neveux/nièces ...)
- rédiger un testament
- perdre un membre de sa famille
"Madame" ... nos petits conseils patrimoniaux rien que pour vous !
Vous ne trouvez pas votre sujet ? posez la question directement à notre assistance fiscale ! Le devis est gratuit et sans engagement de votre part.
Quelles sont les règles successorales ?
Lors d’un décès, les héritiers disposent de 3 options : accepter purement et simplement la succession, l’accepter à concurrence de l’actif net (lorsque les héritiers ne connaissent pas précisément l’étendue des dettes que le défunt a pu laisser) ou y renoncer.
Si le défunt était marié :
Si le défunt avait des enfants, la succession est partagée entre le conjoint survivant et les enfants.
Si les enfants sont communs, le conjoint survivant peut choisir entre l’usufruit de toute la succession ou son quart en pleine propriété.
Si le défunt a eu des enfants d’un premier lit, le conjoint survivant ne peut recevoir que le quart en pleine propriété.
En l’absence d’enfant ou petits-enfants :
Le conjoint hérite de la succession qu’il partage avec le père et la mère du défunt s’ils sont encore en vie. Chacun des parents recevra le quart et le conjoint recevra le reste (moitié ou trois quarts).
Si tous deux sont décédés, il hérite de la totalité.
Le partenaire de Pacs n'est pas un héritier : Pour avoir des droits dans la succession, il doit avoir été désigné dans un testament. En revanche, comme l'époux, le partenaire de Pacs est exonéré de droits de succession.
Le conjoint survivant et partenaire survivant (lié au défunt par un pacte civil de solidarité) sont totalement exempts de droits de succession .
Dans le calcul des droits de succession, l'abattement personnel de chaque ascendant ou enfant vivant ou représenté (car prédécédé ou renonçant à la succession) est de 100 000 €.
Pour les successions dévolues aux frères et sœurs, l'abattement est de 15 932 € .
Pour les neveux et nièces, l'abattement spécifique est de 7 967 €.
On parle de nous dans la presse
-
" Des stratégies sont intéressantes avant le retour en France " comme l’indique B. Carlier de Joptimiz.com
-
" Le PEA sort grand vainqueur, c'est l'enveloppe idéale pour investir en bourse [...] " Joptimiz.com
-
" Les expatriés bénéficient d'une exonération d'impôt sur la plus-value " Joptimiz.com
-
" Les contrats d’assurance-vie sont touchés par la réforme sur les prélèvements " Joptimiz.com